Archive pour février 2015

Bernard Maris vous parle d’argent

4 février 2015,

argentBernard Maris : L’argent est la perversion générale des individualités. Il transforme la fidélité en infidélité, l’amour en haine, la vertu en vice, le vice en vertu, le maître en valet, le valet en maître. Il est le monde inversé. Il est éternel : “toutes les marchandises sont de la monnaie périssable ; la monnaie est la marchandise non périssable”. Il est l’éternité illusoire après laquelle courent les hommes…

Il est le versant noir de la fraternité humaine, la fraternité diabolique, l’union des hommes par la cupidité, “le lien de tous les liens”, le lien social total.

Marx, ô Marx, pourquoi m’as-tu abandonné ? V, versets 3, 4.

Le point sur la Transition

4 février 2015,

Transition.haut de l'imagesous le titre “Les villes en transition, l’ambition d’une alternative urbaine”, Adrien Krauz (*) fait le point sur le site de Métropolitiques

L’entrée du terme « transition » dans le registre de l’action publique  montre que les questionnements sur les manières de construire des modèles de société plus soutenables sont toujours d’actualité. La réponse proposée par les « villes en transition » est un modèle d’action appuyé sur une pluralité d’initiatives locales et citoyennes qui reposent sur une méthode d’aménagement écologique des territoires : la permaculture.

Face à la menace constituée par la crise environnementale, nos sociétés occidentales ont forgé le « développement durable ». Entendu comme un modèle de développement (suite…)

Fabrice Luchini sur le divan de Fr3 le 3 fev 2015 à 23h

4 février 2015,

par Alain HervéPHOac5dbca6-ac50-11e4-848f-0f7545a09d39-805x453

Fabrice Luchini fait partie  de la ménagerie télévisuelle familiale. On en chercherait un de la même race si celui là venait à disparaître. Il nous a révélé hier soir sur le divan de Fogiel l’étendue de sa névrose. Qu’il cultive depuis trente neuf ans chez les psy. Il en a déjà usé deux. Si tous les névrosés étaient de ce calibre on s’ennuierait moins dans la vie. Il a joué le jeu avec honnêteté, sans maquillage, le visage et l’âme à nu.  Pour autant que ce roublard accepte de révéler la totalité de ses doubles fonds.

On ressentait une véritable émotion à observer en très gros plan ces yeux égarés, ces fausses dents dans cette (suite…)