Hommage aux palmiers, chronique d’une agonie

21 septembre 2017,

 ART CONTEMPORAIN & MONDIALISATION

En collaboration avec la Galerie Bugada & Gargnel, cette rétrospective (en cours de publication) se propose de traiter du palmier comme emblème et victime de la mondialisation. Autour de cette plante Leitmotiv, elle présentera un panorama de la scène artistique contemporaine.

Source de l’illustration

UNE VICTIME ANODINE DE LA GLOBALISATION. Comme l’écrivait récemment Jean-Max Colard: “kitsch à Miami, exotique à Cannes où il donne à la Croisette un faux air d’Hollywood, signe d’une uniformisation croissante du paysage urbain et du climat réchauffé de la planète, le palmier se trouve aujourd’hui déplacé, transplanté en tous sens: dénaturé. S’il fut porteur d’un rêve d’évasion moderne, il paraît aujourd’hui entaché de colonialisme. Crevant sur place [attaqué par des ravageurs introduits par un commerce dérégulé], il est une victime anodine, une figure agonisante de la globalisation.”

Hommage aux palmiers / Art, Science & Landscape : 18/09/2017

Sommaire des publications à venir :

* Jean-Max Colard : Pourquoi tant de palmiers dans l’art ?

* Sigmar Polke: Das Palmen Bild

* Edward Ruscha: A few palm trees

* Glen Rubsamen: Rhynchophorus ferrugineus

* Adrien Missika: A Dying Generation

* Cyprien Gaillard: Indian Palm Study

* Operativa Arte Contemporanea: Museo delle Palme

* Maria Dompe: Giardino d’Irene & Land Art