Rodolfo Alfonso Raffaelo Piero Filiberto Guglielni di Valentina d’Antoguola dit Rudolf Valentino, improvisa en 1915 , au oud et en costume régional, une chanson d’amour accompagné à la darbouka:
« Amore eterno e doloroso », c’était une sorte de tango argentin infiniment mélancolique, hélas oublié aujourd’hui.
Depuis 1927, à chaque anniversaire de sa mort, une « Lady in Black » inconnue vient fleurir sa tombe, devant de moins en moins de photographes.