Après cette longue absence, Georges est revenu au jardin. Il a prit goût aux choses délicates :
L’affolement des feuilles des saules dans le vent, le puzzle mouvant de l’ombre et de la lumière, le glockenspiel des bambous, la palpitation d’un lézard…
Il songe au potimarron qui cuit dans la cendre, à la pulpe chaude qu’il dégustera à la cuillère, avec crème fraîche et coriandre hachée…
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