par Alain CULERRIER
Je vous côtoie par la lecture et les idées, depuis un certain temps.
Je crois vous avoir lu dans les années 1970-1980, puis je me suis abonné « au Sauvage », (j’avais alors écrit quelques petites choses, dans la chronique « Courrier des lecteurs), j’ai regretté et protesté lors de la disparition de ce journal. Je vous ai retrouvé avec retard, mais avec grand plaisir fin 2011, sur internet.
Il est grand temps de vous faire savoir que j’apprécie la somme considérable d’informations et le plaisir que j’ai à lire ce journal, j’en vois un volume important de travail et une passion de défendre et faire découvrir l’écologie.
De prime-abord au delà de l’écologie fondamentale, absolument nécessaire et vitale, l’écologie appliquée n’est pas toujours visible, mais je crois qu’il apparaît de plus en plus de nouveaux comportements et de modes de vie, c’est une contribution apporté par votre journal.
Je ne citerai, qu’un exemple que je connais, il y en a, j’en suis sûr, bien d’autres : Je vois évoluer depuis plus de quarante ans dans la région des Cévennes et des Causses, les populations qui se sont installées dans les années 1970 , au début mal perçues par les populations locales, sont maintenant bien acceptées et réussissent seuls ou en commun à vivre harmonieusement dans le souci de leur environnement et des rapports avec la nature, ceci parfois des échecs et beaucoup de travail.
Avec mon remerciement et l’expression de mon respect devant ce travail, son volume et sa durée à vous et à tous les Sauvages associés !
Alain CULERRIER