Avions nous déjà un économiste keynésien, enseignant nos futurs cadres, qui professe que la croissance n’est pas le but de l’économie?
“Dans un court et incisif essai, Nos mythologies économiques, le chercheur Eloi Laurent remet les idées en place, en dévoilant toutes les fausses évidences qui polluent le débat public : la mythologie néolibérale, la mythologie social-xénophobe et la mythologie écolo-sceptique” Les Inrocks
“Il faut produire des richesses avant de les redistribuer. Le pauvre Blanc périurbain est le grand oublié des politiques territoriales. La transition écologique est une affaire de riches synonyme d’injustice sociale : le point commun entre ces trois assertions ? Il s’agit de mystifications particulièrement puissantes à une époque où l’économie est devenue « la grammaire de la politique », estime Eloi Laurent”. Le Monde
«La fonction du mythe, c’est d’évacuer le réel», écrivait Roland Barthes. L’économie est devenue une mythologie qui désenchante le monde. Les mythes économiques sont de fausses évidences qui se présentent comme naturelles. Certes, la contestation interne et externe de la «science économique» monte en puissance. Mais elle ne suffit pas. Car les mythes économiques, dont la doxa libérale se gorge en permanence, ont enseveli le débat public et ont mortifié la parole politique. Dans Nos mythologies économiques (éd. Les liens qui libèrent), Eloi Laurent, économiste et enseignant à Sciences-Po et Stanford, déconstruit quinze mythes économiques contemporains”. Libération
Nos mythologies économiques, d’Eloi Laurent (Les Liens qui Libèrent, 112 pages, 12 euros)
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