Pelt et Rabhi se sont associés pour formuler une question à la quelle ils s’efforcent d’apporter une réponse. Ce n’est pas évident.
Pelt reprend l’histoire à ses débuts avec le big bang pour en arriver à l’homme. Il détaille très clairement les épisodes successifs de cette montée vers la vie puis la conscience, (page 118) qui constituerait un sommet. Je ne partage pas cette mise en unicité de l’homme. Je crois que la conscience est un produit de la compléxification de la matière qui se développe progressivement, même si elle culmine éventuellement avec l’homme. La conscience d’être est manifestement partagée par de nombreuses formes de vie. L’homme n’est pas le phénomène que l’on déifie. Il reste profondément dépendant et solidaire de la matière dont il émerge . Selon la formule de Robinson Jeffers: “not man apart”. (suite…)








