La fin d’Ayraultport

17 novembre 2012,

Par Christophe Chelten

Hier Yves Cochet interpellait Jean-Marc par son prénom. Ils se connaissent bien et lui demandait d’abandonner rapidement son absurde projet. De ne pas s’y enferrer puisque de toute manière il devra l’abandonner.

Il aurait pu ajouter que plus le désengagement tarde, plus il fera de dégâts. Ce peut être tout l’édifice socialiste au pouvoir qui risque de se trouver entrainé par cette affaire qui enrage tous les Français. Leur chute dans les sondages en résulte en grande partie.