par Christophe Chelten
L’Institut national d’études démographiques INED, annonce dans un de ses rapports bi annuels, dix milliards d’hommes dont 72 millions de Français, en 2050 sur la planète Terre.
Appréciation pseudo scientifique, d’ordre romanesque, eu égard aux cataclysmes climatiques qui se seront produits d’ici là.
Les démographes ont toujours souffert d’insuffisance d’appréciation dans leurs calculs croissantistes. Ils ne désarment pas. L’observation du désastre en cours, résultant en grande partie du dérèglement démographique, ne les inquiète pas. La surcharge anthropique eu égard à la raréfaction des ressources ne leur semble pas devoir être prise en compte.