Suite des érudites bonnes feuilles d’un livre à paraître à la rentrée aux éditions du Petit bout de la lorgnette. (à suivre)
par Gabriel Peynichou
Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc, chapitre 13, versets 6 à 9
Il leur disait encore la parabole que voici : «Un homme avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint y chercher des fruits et n’en trouva pas. Il dit alors au vigneron : Voilà trois ans que je viens chercher des fruits sur ce figuier, et je n’en trouve pas. Coupe-le ; pourquoi donc occupe-t-il la terre pour rien ? Mais celui-ci, répondant, lui dit : Maître, laisse-le cette année encore, le temps que je creuse tout autour et que je mette du fumier. Peut-être donnera-t-il des fruits à l’avenir. Sinon, certes, tu le couperas. »
Ce que le Christ, dans l’hypothèse où il serait le fils de Dieu, avait oublié, c’est que le figuier qu’il utilise ici comme une métaphore d’Israël avait joué bien longtemps avant, un rôle symbolique encore plus important pour les peuples du Livre. (suite…)
par Gabriel Peynichou
L’Histoire Naturelle, un outil précieux contre l’obscurantisme. Dans une tribune au « Monde », Bruno David et Philippe Taquet, du Muséum d’histoire naturelle, expliquent en quoi cette discipline est un remède contre l’affaiblissement du discours scientifique.
En moins de huit mois, l’humanité a consommé la totalité du budget écologique annuel de la Terre. Mardi 2 août 2017, nous sommes le Jour du Dépassement Global,
par Christophe Chelten
Un article paru hier sur la démographie illustre ce propos. Le titre en est “Sommes nous trop nombreux sur terre ?“, le contenu est, pour autant que je puisse en juger, bien documenté, intéressant, facile à lire. J’en ai tiré la figure ci-jointe de l’auteur, qui complète celle de
par Ghislain Nicaise
Il ne s’appelle pas Claude mais il est le peintre le plus connu et le plus respecté de l’art dit contemporain. Il s’appelle Money.
Le 20/07/2017 14:05, Jacques Caplat a écrit :