par Christophe Chelten
Greenpeace organise un examen de l’attitude des candidats à la présidentielle à propos de la sortie du nucléaire. On s’étonne de trouver Martine Aubry parmi les très rares candidats favorables à “la sortie”. (voir le site Greenpeace)
Ses promesses à très long terme ressemblent à celles de François Mitterand en son temps. Floues et vouées à l’oubli dès que formulées.
On s’attendrait à une attitude plus radicale de l’association écologique.
Sortir du nucléaire et vite, vite, implique d’autres décisions économiques et sociales, radicales elles aussi. Ce ne sera pas simple mais c’est fondamental.
On ne peut sortir du nucléaire que dans une nouvelle société à la quelle le parti socialiste n’a pas encore commencé de réfléchir. Seuls les Verts, malgré leur désordre, peuvent être crédités d’une véritable intention d’innover.
C.C.