Ils sont célèbres pour leur capacité diésel-cancérigéne, leur inconfort tape-cul, le vacarme qu’ils produisent, l’impossibilité de lire le nom des stations de l’intérieur du bus, les arrêts à cent mètres du lieu desservi, pour ne pas perturber le trafic des sacro-saintes voitures particulières…
Bref, désormais les conducteurs deviennent des Fangio. Est-ce une nouvelle directive? La cargaison des voyageurs âgés est brinquebalée comme de la volaille emmenée vers l’abattoir.
Il faut cependant porter à leur crédit l’affichage des temps d’attente dans les stations, et les couloirs de circulation.
Mais si les parisiens doivent se convertir totalement aux transports en commun, ce qui est souhaitable, il faut accélérer la cadence des passages et créer des parcours entièrement libres de voitures particulières.
RATP on vous écoute. A vous d’inventer de nouvelles règles du jeu urbain.