Archive pour la catégorie ‘La Vie brève’

Par les temps qui courent, un peu de chauvinisme…

6 juillet 2017,

Avec des copains de la plage, nous avions tracé dans le sable humide un circuit pompeusement appelé « Tour de France ». Chacun avait apporté ses coureurs: de petites figurines en métal léger grossièrement peintes aux couleurs des maillots des concurrents. La guerre d’Indochine n’en finissait pas d’agoniser, d’autres guerres commençaient: la Tunisie, l’Algérie… Nos champions d’alors…

Vacance…

4 juillet 2017,

selon Maja

Eloge du Temps qui passe et de la Météo qui change Et puis, renforcer le plaisir en relisant encore le 10/18 écorné, jauni de 1982 avec sur la couverture pliée par mégarde, un détail de « Dawn in Pennsylvania » d’Edward Hopper, Tokyo-Montana express » de Richard Brautigan que j’avais laissé l’année dernière à Cracovie.

Balade agreste…

2 juillet 2017,

Où l’on voit un début d’histoire qu’il serait trop long de développer et où l’auteur laisse soin au lecteur de continuer en toute fantaisie…

Calamars

28 juin 2017,

par Daniel Maja

On attendait, on ne savait quoi et l’air était lourd… Dans ces moments là, Georges a des rêves de calamars, des millions de calamars attirés par les lamparos des pêcheurs. Des millions de calamars qui sont comme les neurones d’un gigantesque cerveau : Des tentacules qui se frôlent et se connectent, des photophores qui clignotent en…

Bonne chance, Monsieur le ministre d’état!

18 mai 2017,

Il n’y a plus qu’à…

Après tout… Maja

17 mai 2017,

Petite sieste réparatrice après ces campagnes éprouvantes.

Là-haut écouter le frottement soyeux des nuages sur le ciel…

L’oracle pascal

21 avril 2017,

par Daniel Maja

Un tuyau pour le tiercé de dimanche?

Perplexité

19 mars 2017,

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De la perplexité de l’électeur moyen surinformé mais stoïque…

De l’Inutilité et des cyclamens

14 février 2017,

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Sa renommée de sagesse s’étendant, on proposa au Vieux Peintre Excentrique quelque poste prestigieux, il répondit qu’il avait mieux à faire.

“Les gens comprennent l’utilité de l’Utile,
mais ils ne comprennent pas l’utilité de l’Inutile”

Il prit le chemin de la montagne, là se construisit une cabane (“ni porte ni fenêtres, il y’a beaucoup de vent”) près d’un bois de cryptomères.

La tête dans le ciel, les pieds dans la rosée, nu, il épousait les rythmes de la nature.  Des fèves sauvages, les pousses rouges des renouées, les champignons et les légumes de la montagne, un peu de riz formaient son ordinaire.

Son corps étant entré dans la vieillesse, il composa son livre:
“De l’Inutilité et des cyclamens”

et il écouta le vent.

Il ignora les joutes publiques dont raffolaient les esprits du moment, aveugles à la Catastrophe pourtant prévisible.