Si l’on en croit Hervé Kempf, nous quittons seulement aujourd’hui le néolithique pour entrer dans le biolithique. Sa démonstration, fondée sur un gisement statistique de grande ampleur, est très intéressante. Même si l’on reste très sceptique sur les statistiques et l’usage que l’on en fait pour prouver une chose et son contraire.
Et tout d’abord rien à regretter de ce néolithique agonisant dans l’ordure. (suite…)