par Christophe Chelten
Mais pourquoi répéter sans cesse le nom des auteurs des attentats?
Et le répéter encore jusqu’à leur créer une notoriété. Du jour au lendemain après leur acte, ils deviennent des vedettes médiatiques. Leur nom apparaît aussi souvent que celui de Johnny (dont on commence à être saturé.) Ne pourrait-on leur attribuer un simple numéro d’identification? Et encore c’est trop.
A quelle nécessité ou projet correspond cette publicité répétitive? Y a t il une volonté de stigmatisation généralisée des noms à consonance arabe? L’initiative en revient- elle aux pouvoirs publics, police et procureurs, dans leurs communiqués ? Ou bien à la presse qui s’en gargarise? Tandis que le nom des victimes est à peine mentionné. Sauf dans le cas d’une mort héroïque.
La presse qui pense, dont nous sommes bien pourvus en France, va t-elle étudier cette curieuse manifestation médiatique? Le Sauvage s’étonne d’être le seul à se poser la question.
Bizarre publicité faite à des actions en définitive très rares.
par Alain Hervé
Nous avons il y a quelques années découvert ce personnage insolite qui avait fini sa vie à San Remo sur la Riviera dei fiori. On peut choisir pire endroit pour mourir en 1888. Lear était amoureux des chats, inventeur de limericks, bricoleur de non-sens, ornithologue, portraitiste d’oiseaux, aquarelliste de paysages… Le Museo Civico de San Remo lui avait consacré un hommage très réussi. Depuis le Musée a déménagé et ne possède plus qu’un seul tableau de Lear, une bonne huile représentant le village d’Eze. Son artiste vedette est désormais Antonio Rubino célèbre illustrateur du Corriere dei Piccoli.
par Gabriel Peynichou

par Christophe Chelten. Un certain nombre d’intervenants à la télévision ont décidé de ne plus tenir compte du diacritique accent circonflexe dans leur prononciation du Français. Les plus pratiquants de cette amputation sont les commentateurs des bulletins météo qui fréquentent les “cot” de la France. Ainsi les dépressions passent sur les “cot du Ron” pour les côtes du Rhône. Cette pratique semble être l’apanage des méridionaux d’origine. On a connu un porte parole du gouvernement originaire de Forcalquier qui ampute la langue française de cet écrasement fugitif d’une lettre, d’une syllabe, d’un mot. Il en résulte un agacement pour les nordistes et j’imagine pour la professeure Macron.
J’ai pu laisser l’impression que le livre d’Ivo Rens,