Par Didier Barthès
Sous la pression conjuguée du réchauffement climatique et de l’inéluctable déplétion pétrolière, la voiture à moteur thermique est aujourd’hui sur la sellette. Ici et là, on avance publiquement un terme à sa commercialisation et parfois même à son utilisation. De nombreux pays semblent désormais décidés à faciliter le basculement vers la propulsion électrique présentée comme une évidence. Taxation croissante des carburants, mise en place de réseaux de bornes de recharge, véhicules électriques en auto-partage, évocation de mesures coercitives… Tout va en ce sens, au moins (suite…)