par Charles Ribaut
Mes parents, vantant le mérite du scrutin à deux tours, me disaient pour éveiller ma conscience politique : au premier tour on choisit, au second on élimine. Il est vrai qu’à côté le scrutin anglais à un seul tour fait figure de caricature. Nous devrions être satisfaits de mieux satisfaire à l’expression électorale que la perfide Albion. Comment se fait-il que l’électorat d’avril 2017 dans notre pays soit aussi inquiet, aussi peu prêt à choisir l’option politique préférée ? Les médias pointent du doigt les sondages, grands responsable du “vote utile”, soulignant au passage que les candidat-e-s n’admettent croire aux sondages (suite…)
par Christophe Chelten
par Alain Hervé
‘est la seule. Pour le reste on nous promène depuis quelques jours dans des épisodes de plus en plus minables. Fictif ou pas l’emploi était surpayé. Ce que chaque Français qui peine à réunir mille ou deux mille euros par mois appréciera. Car il s’agit d’argent prélevé dans sa poche de contribuable. Finissons en vite avec ce feuilleton rural.

On reste affligé devant le spectacle qu’offre la gauche victime de sa propre invention des primaires. Nous voilà avec bientôt dix candidats, sans compter les outsiders. L’inflation verbale qui en résulte ressemble au flot de détritus qu’emporte le jet d’eau à la fin du marché. On ne distingue plus les propositions démagogiques des uns, des promesses usées des autres. Le programme draconien de Fillon semble lumineux devant le déballage de cette course en sac.
par Christophe Chelten